La Suisse n’a pas attendu la Covid 19 pour s’équiper des dernières technologies de désinfection.
Ainsi, l’hôpital universitaire de Bâle est devenu le premier établissement hospitalier du pays à utiliser un appareil à rayonnement ultraviolet. L’objectif ? Désinfecter plus efficacement les chambres de leurs patients. Le risque d’épidémie s’en retrouve considérablement réduit.
Les LED UV-C face aux infections nosocomiales
Les infections nosocomiales sont celles contractées durant un séjour dans un établissement de santé. Ces infections sont généralement absentes au moment de l’admission du patient et se déclarent après son séjour. L’infection est généralement considérée comme nosocomiale si elle apparaît 48h après l’hospitalisation. Sinon, on considère en général qu’elle était simplement en phase d’incubation à l’arrivée du patient dans l’établissement.
On comprend donc très vite l’intérêt de s’équiper de nouveaux appareils de désinfection. En effet, grâce à la technologie des LED UV-C, les établissements hospitaliers minimisent les risques de transmission de maladies. Car ces infections nosocomiales concernent environ 5% des patients hospitalisés.
Grâce à la désinfection par LED UV-C, les bactéries sont tuées de façon fiable. Arkam Group fournit d’ailleurs des certificats de désinfection à la fin de chaque cycle. Cela garantit donc une sécurité optimum dans vos locaux.
La Suisse donne l’exemple
L’appareil mobile de désinfection choisi par l’hôpital de Bale est en fonction depuis plusieurs années maintenant. Un exemple que de nombreux pays se devraient de suivre, surtout actuellement. L’exemple Suisse est là pour démontrer que la désinfection est un sujet à ne pas prendre à la légère. Les deux dernières années en furent un exemple éloquent.
Comparées à la méthode traditionnelle de nettoyage et de désinfection, les UV-C sont moins coûteuses, plus efficaces et surtout… Moins dangereuses ! En effet, vous ne vous retrouvez pas en contact avec des produits chimiques souvent nocifs pour les yeux, la peau ou encore les poumons. Sans parler de l’environnement.
Grâce aux LED UV-C, la désinfection est plus courte et beaucoup moins dangereuse. En outre, tout est automatisé, là où une désinfection chimique nécessite des compétences précises. En outre, via désinfection chimique, des germes peuvent survivre. Un problème qui ne se pose pas avec les UV-C.
Espérons désormais que les centres médicaux français et européens suivront très prochainement l’exemple suisse, afin de rendre les consultations plus sécurisées que jamais.
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